depuis la fin du siècle précédent, Jérôme Bertin n’a jamais travaillé à autre chose qu’à faire surgir cette littérature des indigents en appuyant là où ça fait le mal
de son portrait, elle dit qu’il faudrait le peindre « à la manière de Giacometti, un visage perdu dans l’abondance des traits mais émergeant de cette même pelote emmêlée »
né à Paris en 1969, vit en haut d’une colline lyonnaise (Croix-Rousse) pendant une trentaine d’années, puis dans un enfer campagnard, avant de déménager pour un bord de mer